Ouverture
Je veux m’abstraire vers vos cuisses et vos fesses,
Putains, du seul vrai Dieu seules prtresses vraies,
Beauts mres ou non, novices et professes,
ne vivre plus qu’en vos fentes et vos raies !
Vos pieds sont merveilleux, qui ne sont qu' l’amant,
Ne reviennent qu’avec l’amant, n’ont de rpit
Qu’au lit pendant l’amour, puis flattent gentiment
Ceux de l’amant qui las et soufflant se tapit.
Presss, fleurs, baiss, lchs depuis les plantes
Jusqu’aux orteils sucs les uns aprs les autres,